David Dahinden
Directeur général
+41 44 420 11 11 david.dahinden@businessbroker.ch LinkedIn ProfilUne approche transparente et honnête est indispensable dans le processus de vente.
- Mes débuts:
- J'accompagne les entreprises dans tous les aspects de la transmission d’entreprises depuis environ 17 ans. J’ai débuté en 2006 au sein de l’association kmuNEXT comme «Allrounder» et j’ai intégré l’équipe Corporate Finance de BDO en 2022 dans laquelle j’ai fait mes premières expériences de direction de projet. En 2013, j’ai repris la tête du domaine «Transmission d’entreprise» chez BDO que je dirige aujourd’hui encore. En tant qu’associé chez BDO, je suis aujourd'hui directeur général de notre filiale Business Broker SA.
- Mon premier mandat:
- Une petite entreprise dans le domaine des technologies médicales, pour laquelle j'ai accompagné l'acheteur externe (personne privée) tout au long du processus d'achat. Et aujourd’hui, environ 12 ans plus tard, il est intéressant de constater que mon client de l’époque m’a recontacté pour vendre son entreprise. La boucle est ainsi bouclée et j'en ai retiré une grande satisfaction.
- Mes forces:
- Derrière chaque entreprise, il y a des gens! J'ose affirmer que je perçois très bien les personnes avec leurs besoins, leurs désirs mais aussi leurs peurs, et cela me permet de comprendre les différentes perspectives. Il m'est ainsi possible de trouver des solutions qui durent et sont prometteuses.
- Ma manière de travailler:
- L'honnêteté est un atout. Mes clients savent à quoi s'en tenir. La réalité se reflète rarement dans les attentes. L'une des tâches principales du conseiller est de communiquer ouvertement et honnêtement sur ce qui est possible et ce qui ne l'est pas. Une approche transparente et honnête est un must dans le processus de vente. Cela implique parfois des discussions difficiles, lorsque nos clients constatent que la réalité ne peut pas satisfaire leurs attentes.
- Ma mésaventure et ce que j’en ai appris:
- Tous les projets n'aboutissent pas et cela fait malheureusement aussi partie des affaires. Je me souviens du cas tragique d’une entreprise familiale qui devait être vendue après le décès soudain de son propriétaire. L'épouse du propriétaire - un peu plus jeune - a dû s'occuper de la vente dans une période difficile et a pris son père comme conseiller émotionnel. Il avait été convenu que les responsabilités seraient partagées, par exemple lors des négociations avec les acheteurs. Le processus de vente a échoué de manière spectaculaire, car les responsabilités n'ont jamais été définies avec précision. Ce que j’en ai appris: La responsabilité ne peut pas être partagée.
- Comment je recharge mes batteries:
- Un verre de vin dans le Piémont avec de bons amis ; le romantisme d'un feu de camp au sommet du Napf, une soirée d’été à la plage de Nottwill... beaucoup de choses me viennent à l'esprit.